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Tendance excessive à la distraction, qui se manifeste souvent de manière insidieuse, déroutante, voire sélective et occasionnelle. Elle apparaît davantage avec les contraintes pédagogiques et éducatives, à mesure que l'enfant grandit et avance en âge. Elle semble parfois :
Ce problème handicape sérieusement la réussite académique, le potentiel individuel, et conduit souvent aux échecs, même au décrochage scolaire. Il favorise une attention surtout périphérique, où les stimuli secondaires auront autant d'importance que le stimulus central, sinon davantage, entraînant l'éparpillement des intérêts. Il demeure utile de considérer le déficit de l'attention à l'image de l'allergie, par exemple. D'abord une sensibilité qui peut devenir un handicap occasionnel et ensuite une maladie si personne n'en connaît le mécanisme et ne se préoccupe de prévention, et de traitement, s'il y a lieu. Pour que le déficit de l'attention soit une entité clinique, il faut qu'il se relie de près ou de loin à l'échec réel ou éminemment appréhendé. Traits particuliers: 1. Facilité à la rêverie dans les tâches assez monotones et fastidieuses:
2. Esprit distrait et fuyant face aux contraintes et consignes, et fréquents oublis dans les affaires quotidiennes. 3. Vigilance plutôt attentive dans les activités sous pression et rythme accéléré: compétition, course etc. 4. Tendance à perdre ses objets personnels et familiers: clés, crayons, livres, tuques, mitaines, etc. 5. Maturité variable du caractère dans le sens des limites, le seuil de tolérance à la frustration, le contrôle des impulsions, la stabilité de l'estime de soi, la capacité de vivre et partager l'attention, le sens de l'organisation dans le temps (la ponctualité, les horaires) et l'espace (le territoire, l'ordre). 6. Excitabilité possible dans les situations sociales. Besoin de faire des drôleries, de distraire les autres. 7. Danger d'échec scolaire, à mesure que s'approchent les matières plus abstraites des études secondaires, collégiales ou universitaires, le plus souvent l'étude des langues (grammaire, orthographe) et des mathématiques complexes. Environ 3 à 5 % des enfants/adolescent(e)s d'âge scolaire auraient ce problème et la moitié d'entre eux pourront souffrir de difficultés d'apprentissage. Source : Dr Claude Jolicoeur, pédopsychiatre, Montréal
A ces troubles de l’attention peuvent s’ajouter une hyperactivité/impulsivité :
Source : http://start.at/psy http://perso.wanadoo.fr/thada-france/indexaccueil.htm http://www.forumhyper.net/scarlett/Note à l'intention des parents et enseignants: télécharger le fichier
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